Panneau de signalisation et pneu par -15 mètres.
Lac du Bourget, 9 août 2016 :
Localiser des déchets immergés sera notre objectif de la journée.
Pour les plongeurs nettoyeurs du G.S.R.L de Chambéry, l’extraction d’un déchet profond des eaux du lac nécessite 3 immersions.
– Une première plongée pour sélectionner un déchet.
– Une deuxième pour le libérer de ses éventuelles entraves et placer les amarrages qui permettront de le remonter.
– Une dernière pour poser les parachutes de relevage, les gonfler, et contrôler la charge jusqu’à la surface.
S’il on ajoute le transport en déchetterie, l’investissement en temps pour l’équipe est important.
L’équipe en route vers les sites à explorer.
Comprenez donc qu’il nous serait agréable, plutôt que de retrouver régulièrement de nouveaux déchets dans le lac, d’apprendre que chacun utilise au maximum les structures de tri et de valorisation mises à la disposition du public.
A noter : Nous découvrons également sous l’eau beaucoup de déchets du bâtiment.
Le déversement en centre de tri des restes de chantier, coûte aux artisans entre 40 et 60 euros la tonne. Le lac, les fossés au bord des routes ou les terrains vagues représentent alors, pour les plus distraits d’entre eux, une solution rapide discrète et économique.
A quand l’accès gratuit des déchetteries aux artisans ?
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- De G à D : Sylvie VIBOUD, Philippe GOITSCHEL et Dominique PICARD, plongeurs sensibilisés à la propreté du lac.
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- Appareil photo et éclairage d’appoint sont nécessaires pour préparer les opérations.
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- Une aile de véhicule par -10 mètres.
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- Du mobilier colonisé par les moules.
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- Pièces métalliques recouvrant les restes d’une moto.
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- A partir de -30m, les phares haute puissance sont nécessaires pour travailler.
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- Tout cela serait mieux en déchetterie … N’est-ce pas ?
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- Les faisceaux des phares entre les déchets par 30 mètres de fond.
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- Des ferrailles qui demanderont plusieurs plongées d’évacuation.
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- Quelqu’un est passé par là.
